La deuxième journée avec les délégués allemands
Simul'ONU : seconde journée en compagnie
des délégués allemand du comité Paix et Sécurité
Et nous voici de retour avec les délégués allemands, Erika ACKERMANN, Hanna FRIEDRICH et Hans STÖLLEN. Nous les avons suivit au comité Paix et Sécurité. Et nous avons réussi à obtenir une interview exclusive de leur part.
Le Mercredi 10 février, nous avons retrouvé les délégués de l'Allemagne, Hanna FRIEDRICH, Hans STÖLLEN et Erika ACKERMANN, au comité Paix et Sécurité. Après que tout le monde ait écrit leurs discours, la déléguée Svetlana VLADIVOSTOK de la Fédération russe a commencé son speech d'ouverture, suivie d'Ivana SVIATOSLAV, elle aussi délégué de la Fédération russe. Ce dernier discours a été rudement critiqué, notamment par les États-Unis d'Amérique et leurs alliés. Hans STÖLLEN a notamment insisté sur la question des réfugiés syriens. Il a aussi posé une question à propos du budget pour leur armée. Ivana a répondue que la Russie était tout à fait capable d'assurer financièrement leur armée. Il y a eu aussi un point of order de l'Allemagne sur le fait qu'elle avait un portrait de Vladimir Poutine sur sa tablette. Les russes apprendront-ils un jour de leurs erreurs ?
Ensuite est venu le tour de la Syrie de faire son discours. Là aussi il y a eu beaucoup de remarque de l'Allemagne. « Que pensez-vous de la nouvelle résolution de la Fédération russe et pourquoi ? » « Nous pensons que l'aide Humanitaire proposée par les russes est un point important car nous en avons besoin pour notre population. ». Hans a aussi questionné le délégué syriens « Ne pensez-vous pas que c'est une contradiction d'être allié avec la Russie alors qu'elle n'accepte pas vos réfugiés ? » Le délégué a répondu avec une phrase très brève « Non ». L'Allemagne a aussi fait deux point of order et leur allié, la Nouvelle-Zélande, un, sur le fait que le délégué syrien n'avait pas le droit de répondre à une question par une autre question. Mais celui-ci a été refusé. Hanna a fait une remarque comme quoi tuer des gens n'est pas la solution; Une autre personne a aussi fait une remarque sur la même point, que cela pouvait être un cercle vicieux et que tuer des gens pouvait alimenter le terrorisme et non l'annihiler.
Nous avons réussi à obtenir une autre interview pendant la pause. Nous avons eu du mal car ils étaient encore en train de débattre ou de parler avec leurs alliés.
Nous : « Adhérez-vous complétement à la nouvelle résolution des États-Unis ? »
Hans : « Oui, comme nous l'avons signée c'est que nous sommes d'accord avec eux. »
Nous : « Mais êtes-vous d'accord sur TOUS les points ? »
Hanna : « Oui nous sommes d'accords sur tout »
Nous : « Et est-ce que vous vous êtes fait de nouveaux opposants au cours des réécritures ? »
Erika : « Non nos opposants sont restés les mêmes, c'est à dire la Russie et la Chine principalement. »
Nous : « Est-ce qu'il y eu des conflits au sein de votre alliance ? »
Hans : « Non, il y a une très bonne ambiance, tout le monde s'entend bien. Nous avons même rédigé les questions ensemble. »
Nous : « Et que pensez-vous de la résolution de la Fédération russe ? »
Hanna : « Les points sont biens mais ils ne peuvent pas tout résoudre. Ils ne se préoccupent pas des réfugiés. »
Nous : « Avez-vous garder l'idée d'un espace Schengen « 2 » ? »
Erika : « Non, mais il y a eu de nouvelles propositions qui sont dans le même thème. »
Nous : « Merci beaucoup d'avoir répondu à nos questions. Et bon courage pour la suite »
Orlane PROST et Manon CAPELLI